Procrastination : pourquoi on repousse… et comment en sortir (en 3 étapes)
Est-ce que ça vous ressemble ?
La procrastination touche tout le monde. Qui n’a jamais repoussé une tâche importante jusqu’à la dernière minute ? Que ce soit un rapport à rédiger, un appel à faire ou même un projet de vie à démarrer… on remet à demain, puis encore à demain.
Mais pourquoi fait-on ça, alors qu’on sait que ce n’est pas une bonne idée ? Et surtout, comment sortir de ce cycle sans se juger ni se forcer ?
La programmation neuro-linguistique (PNL) propose des outils concrets pour mieux comprendre et transformer ce réflexe d’évitement. Voici 3 étapes simples et puissantes pour arrêter de procrastiner et passer à l’action avec plus de légèreté.
Étape 1 – Comprendre la fonction inconsciente de la procrastination.
Vous n’êtes pas seul… et non, ce n’est pas une question de volonté.
La procrastination n’est pas une question de paresse ou de manque de volonté. C’est souvent une stratégie inconsciente pour fuir une émotion désagréable.
On anticipe que la tâche sera longue, stressante ou ennuyeuse. Alors, notre cerveau se protège : on fait autre chose, on évite, on se distrait. C’est un réflexe humain.
Ce qui est important ici, c’est de comprendre que la procrastination n’est pas un défaut. C’est un mécanisme de protection. En prendre conscience, c’est déjà reprendre du pouvoir sur soi-même.
Étape 2 – Identifier ses représentations mentales (les sous-modalités)
Imaginez deux scènes mentales :
Une image mentale de la tâche que vous évitez.
Et une autre image : celle de ce que vous faites à la place (scroll, café, ménage…).
La première image est peut-être grosse, sombre, oppressante. L’autre est plus légère, colorée, lointaine.
En PNL, ces caractéristiques sont appelées sous-modalités. Elles influencent notre ressenti et nos comportements. Bonne nouvelle : elles peuvent être modifiées volontairement.
Exemples :
Réduisez la taille de l’image de la tâche.
Éloignez-la, ou ajoutez-y une lumière plus douce.
Remplacez la voix stressante par une voix calme qui dit : « Tu peux le faire à ton rythme. »
Ces petits ajustements changent la perception interne, et donc votre disposition à agir.

Étape 3 – Appliquer une technique de PNL pour sortir de la procrastination.
Prenons l’exemple de Pierre. Il remettait toujours à plus tard ses tâches administratives. Rien que d’y penser, il se sentait tendu.
Lors d’un accompagnement, nous avons utilisé une technique de PNL basée sur les sous-modalités. Il a changé la façon dont il représentait cette tâche dans son esprit : il a rendu l’image plus lointaine, ajouté une lumière chaleureuse, remplacé le dialogue intérieur anxieux par un ton encourageant.
Résultat ? Il a ressenti moins de pression, plus de clarté… et il a pris rendez-vous pour régler ce qu’il évitait depuis des mois.
La clé, ce n’est pas la discipline. C’est la transformation intérieure de votre perception.
Et vous, quelle petite action pouvez-vous faire dès aujourd’hui ?
Choisissez une tâche que vous remettez souvent. Fermez les yeux. Imaginez cette tâche. Observez comment vous la percevez… et jouez avec cette image. Changez-la, ajustez-la.
Vous serez surpris de constater que ce petit exercice peut suffire à débloquer le mouvement.
La procrastination peut devenir un signal à écouter, plutôt qu’un poids à subir.
Avec les bons outils – comme ceux offerts par la PNL – vous pouvez reprendre le contrôle, avancer à votre rythme, et transformer l’évitement en action alignée.
Prêt à essayer ?
Découvrez comment je peux vous aider à débloquer votre situation de procrastination avec des méthodes éprouvées
Prenez rendez-vous pour une séance d’accompagnement personnalisée